Le maire WANVOEGBE et son Conseil Communal au chevet des écoles sinistrées avec des engagements fermes.Les vents ont soufflé fort sur Adjarra, déchirant toitures, dispersant cahiers, mettant à l’épreuve l’espoir de centaines d’écoliers à la veille des examens. Mais ce vendredi 02 mai 2025, un autre souffle, plus rassurant, a traversé les six arrondissements de la commune : celui du maire Germain Sourou WANVOEGBE et de son conseil communal, déterminés à ne pas laisser l’école sombrer dans l’oubli des intempéries.
Tôt dans la matinée de ce vendredi, sans tambour ni trompette, mais avec la gravité de ceux qui savent la valeur de l’urgence, l’autorité communale, entourée d’une forte délégation du conseil communal , a sillonné les écoles les plus touchées par les récentes tempêtes. Partout, le même spectacle : des clôtures en lambeaux, des salles de classe exposées à ciel ouvert, des tableaux lessivés par la pluie, des documents pédagogiques mouillés et endommagés, des élèves regroupés dans des conditions précaires, mais porteurs d’un rêve : continuer à apprendre.
Dans tous les six arrondissements de la commune, le constat est alarmant dans les écoles parcourues. « Ce que nous avons vu est douloureux et inquiétant, mais nous ne cèderons ni au découragement ni à l’attente. L’éducation est notre socle. Nous allons agir immédiatement pour remettre ces écoles sur pied », a déclaré avec fermeté le maire WANVOEGBE, le regard plein de détermination. Il n’a pas fait de promesses vagues. Il a parlé d’engagements concrets : réhabilitation prioritaire des centres d’examen du CEP, mobilisation des ressources d’urgence, et plaidoyer renforcé auprès des partenaires techniques et institutionnels.Chaque arrêt a été un moment de vérité. Les acteurs de l’école n’ont pas masqué leur émotion. Le chef de la circonscription scolaire, les directeurs d’écoles, les enseignants, tous ont exprimé une gratitude authentique. « Il y a dans la présence du maire ici plus que de la compassion : il y a une conscience aiguë de sa mission et celle du conseil communautaire.
Nous avons senti un maire préoccupé par le bien-être des enfants», a confié un directeur.Au-delà de la gestion de crise, cette descente traduit une vision plus large : celle d’un maire qui conçoit sa fonction comme une responsabilité vivante, proche du terrain, enracinée dans les réalités de sa population. En se rendant dans les écoles touchées, en se mettant à l’écoute sans filtre ni intermédiaire, Germain Sourou WANVOEGBE a démontré une chose essentielle : gouverner, c’est avant tout être présent. Être là. Surtout quand ça va mal.À l’heure où de nombreuses communes peinent à faire face aux imprévus climatiques, Adjarra fait le choix de la proactivité, de l’anticipation et de la solidarité. Et derrière cette dynamique, il y a un conseil communal soudé, des arrondissements mobilisés, et un capitaine de navire qui ne fuit pas la tempête, mais choisit d’y faire face. Par cet acte, le maire WANVOEGBE renforce son contrat social avec la population, crédibilise son action, et hisse un étendard : celui d’une commune debout, même sous l’orage.
Cell-Com / Mairie d’Adjarra